Cela faisait du bien d'arriver enfin dans un lieu qu'elle connaissait bien. Après les sous-sol du chateau de Fiore où elle avait établi l'un de ses premiers repaires de torture, la jeune femme avait fini par s'approprier une nouvelle demeure non loin du parc d'Akane. Elle avait prit le temps de creuser un sous-sol en profondeur pour pouvoir y faire des expériences et torture tout aussi intéressante. Avec sa petite équipe qu'elle avait elle-même choisi et avec qui elle s'entendait plutôt bien, ils faisaient un travail dès plus instructive et apprenait de nouvelles méthodes de torture. Akaya avait choisi ce lieu car déjà assez discret, et ensuite, cela lui permettait d'espionner un peu ce qui se passait à la surface de façon plutôt discrète. Puis bon on va l'avouer, c'est aussi pour s'amuser un peu dans le parc en toute discrétion quand celle-ci en avait le besoin.
Enfin bref, ce jour-là, Akaya avait reçu un nouvel invité dans son repère, un révolutionnaire qui avait essayé de chopper des informations sur l'ennemi pour les remettre à des personnes plus compétente. Cependant, malchance pour lui, les gardes de Naarath l'avait choppé et ensuite envoyé ici pour être torturer. Toute contente, elle dut signer le billet pour annoncé qu'elle avait bien reçu le colis et elle l'emmena alors dans les sous-sols, les yeux toujours bandés et les mains attachés dans le dos. Apparemment ce révolutionnaire n'avait pas de magie, il travaillerait pour les rebelles en tant qu'espion normal, pour ne pas éveiller les soupçons.
Lui enlevant le bandeau pour lui montrer avec joie la pièce, elle eut un sourire satisfait en le voyant appeuré. Et il y avait de quoi ! La pièce était littéralement rempli d'accessoire de torture, d'appareil en court de test et également une zone avec des flacons un peu partout. Elle fit signe à ses collègues d'aller l'attacher sur la chaise au centre de la pièce et fit rapidement les présentations.
- Bonjour à toi et bienvenue en enfer ! Nous seront tes hôtes pendant ton séjour et jusqu'à ce que souffrance s'ensuivent. Tu vas subir des choses expérimentales, donc j'espère que tu ne me décevra pas, car j'adore voir la souffrance dans le regard.
L'homme paniqué ne quittait pas la bleutée des yeux et dans son regard, elle compris qu'il avait vraiment la peur de sa vie. Elle allait enfin pouvoir commencer à le torturer lorsque soudain, un bruit sourd se fit entendre et une voix reconnaissable la fit grincer des dents.
- NON MAIS C'EST PAS VRAI !!! Putain de merde...Je peux pas m'amuser en paix !
Grognant elle lâcha alors son premier ustensile et alla ouvrir la porte en marmonnant des insultes inspirés.
Enfin bref, ce jour-là, Akaya avait reçu un nouvel invité dans son repère, un révolutionnaire qui avait essayé de chopper des informations sur l'ennemi pour les remettre à des personnes plus compétente. Cependant, malchance pour lui, les gardes de Naarath l'avait choppé et ensuite envoyé ici pour être torturer. Toute contente, elle dut signer le billet pour annoncé qu'elle avait bien reçu le colis et elle l'emmena alors dans les sous-sols, les yeux toujours bandés et les mains attachés dans le dos. Apparemment ce révolutionnaire n'avait pas de magie, il travaillerait pour les rebelles en tant qu'espion normal, pour ne pas éveiller les soupçons.
Lui enlevant le bandeau pour lui montrer avec joie la pièce, elle eut un sourire satisfait en le voyant appeuré. Et il y avait de quoi ! La pièce était littéralement rempli d'accessoire de torture, d'appareil en court de test et également une zone avec des flacons un peu partout. Elle fit signe à ses collègues d'aller l'attacher sur la chaise au centre de la pièce et fit rapidement les présentations.
- Bonjour à toi et bienvenue en enfer ! Nous seront tes hôtes pendant ton séjour et jusqu'à ce que souffrance s'ensuivent. Tu vas subir des choses expérimentales, donc j'espère que tu ne me décevra pas, car j'adore voir la souffrance dans le regard.
L'homme paniqué ne quittait pas la bleutée des yeux et dans son regard, elle compris qu'il avait vraiment la peur de sa vie. Elle allait enfin pouvoir commencer à le torturer lorsque soudain, un bruit sourd se fit entendre et une voix reconnaissable la fit grincer des dents.
- NON MAIS C'EST PAS VRAI !!! Putain de merde...Je peux pas m'amuser en paix !
Grognant elle lâcha alors son premier ustensile et alla ouvrir la porte en marmonnant des insultes inspirés.